L'univers chorégraphique de Clara Billard

Quel est ton univers chorégraphique ?

Je suis chorégraphe en danse contemporaine. Mon langage chorégraphique se décline à travers la puissance du geste, la recherche d’univers identifiés et marqués, la force des grands ensembles et du mouvement au service de la narration. J'aime raconter des histoires, parler des grandes aventures, des aventures humaines. Je travaille souvent avec beaucoup de décor et je porte une grande attention à la scénographie. C'est souvent la dramaturgie scénique qui déclenche chez moi la recherche du mouvement. Je m'inspire beaucoup de l'art cinématographique et pictural : j'aime composer l'espace scénique comme on compose un plan au cinéma.

Peux-tu nous dire quelques mots sur ta création / projet en cours ?

Voici la note d'intention de ma pièce, Not So Sweet Home (un extrait sera présenté le 06 mai prochain au Carreau du Temple, lors de la Soirée des Chorégraphes) :
"Les premiers flocons de décembre flottent au-dessus de Washington Square. Le soleil a plongé depuis bien longtemps derrière les façades de briques rouges. Peu à peu, les fenêtres s’éclairent, les cheminées fument et les intérieurs se réchauffent. Au bout de la rue, un salon vient de s’allumer. Un homme lit le journal dans son fauteuil ; une femme arrange quelques fleurs dans un vase. La table est dressée. Les invités vont bientôt arriver. À mesure que les verres se vident pour se remplir à nouveau, les apparences se fissurent, des tensions se nouent et les corps se libèrent. Entre faux-semblants et règlements de compte, les êtres font payer le prix de la mascarade sociale jusqu’à ce que les provocations de la nuit se transforment en révélations au petit matin.
Not So Sweet Home, c’est une fenêtre ouverte sur ces espaces intérieurs et intimes où les individus ne communiquent plus. C’est une brève histoire, celle de la foule solitaire, face aux rouages d’une société hypocrite où les conventions se confrontent aux désirs personnels. Derrière les tensions sous-jacentes entre ces personnages, chaque geste, chaque regard, témoigne d’une lutte pour l’affirmation de soi, pour retrouver sa liberté et son identité individuelle."

Quel atelier as-tu prévu avec les danseur.se.s de Danse en Seine ?

J'ai choisi de travailler autour de la pièce citée ci-dessus. C'est la première pièce de ma compagnie Boulevard du Crépuscule, et ma première création dans un cadre professionnel. En règle générale, j'aime travailler avec de grands groupes. J'ai déjà fait des pièces avec parfois jusqu'à 80 danseuses et danseurs sur scène ... Pour cette création, je suis obligée de diminuer considérablement le nombre d'interprètes au plateau (j'en ai quand même 6 !). Ce sera donc un plaisir pour moi de l'aborder avec un plus grand groupe de danseuses et danseurs. Au fil des ateliers, nous travaillerons autour des notions d'altérité, de relation aux autres, de relation à soi, de la singularité et de l'individualité au milieu du collectif mais aussi de notre rapport à l'espace, aux objets, aux matières qui nous entourent.

Pourquoi avoir rejoint l’incubateur de chorégraphie ?

Après avoir travaillé pendant plusieurs années pour la Jeune Compagnie À Pas de Velours avec des enfants et adolescents, j'ai souhaité créer ma propre compagnie professionnelle. Ce parcours de formation était pour moi l’accompagnement attendu pour préciser mon écriture et mon identité en tant que chorégraphe et m’initier à la dimension administrative et juridique d’une compagnie. Je suis ravie de la formation et je me sens très chanceuse d'avoir rejoint la grande famille de La Fabrique !

©Nathalie Marion

Delphine, notre bénévole du mois

Peux-tu nous présenter ton association et le projet qui va naitre avec Danse en Seine dans les mois à venir ?

Le Paname Symphony Orchestra (PSO) c’est un orchestre symphonique créé en 2018. Nous sommes une soixantaine de musiciens amateurs et bénévoles. Nous avons à cœur de partager notre passion pour la musique symphonique. Depuis la création de notre orchestre, nous avons monté des symphonies, des concerts pédagogiques, un conte musical, un ciné-concert, un concert dont les spectateurs étaient les héros, un spectacle de rap symphonique, etc. Notre chef d’orchestre et directeur artistique depuis 2022 s’appelle Florian Bonnin. Il est musicien professionnel et pratique des styles de musique très différents, de Debussy aux musiques urbaines en passant par le jazz et les musiques de film. Pour mettre la musique symphonique à la portée de tous, nous montons des projets transversaux et c’est comme ça que nous avons eu l’idée de monter un programme autour de la danse. Une des musiciennes du PSO est aussi danseuse à Danse en Seine (Mathilde Schoeder) donc c’est elle qui nous a mis en relation avec votre super assoc’. Valentine et Sophie ont rencontré Florian et ensemble ils ont commencé à réfléchir à un projet qui mettrait nos deux disciplines artistiques à l’honneur autour d’une thématique. Cette thématique c’est la singularité. Il y aura donc des tableaux avec des univers qui évoqueront différentes émotions et ambiances liées à la cette question de la singularité. Pour le moment, le projet est encore en cours de montage donc je ne peux pas en dire beaucoup plus.

Peux-tu te présenter en quelques lignes ?

J’ai 3 vies : ma vie professionnelle (je suis conférencière en histoire de l’art et médiatrice culturelle), ma vie perso et ma vie avec le PSO (vice-présidente et violoncelliste).

Le point commun entre tout ça c’est ma passion pour les arts. J’ai grandi dans une famille de musiciens, j’ai ensuite fait des études d’histoire de l’art et j’adore transmettre tout ça à travers mon métier, mon rôle de maman et mon rôle au PSO. Je trouve que des associations comme les nôtres sont essentielles pour offrir des expériences humaines et artistiques à ceux qui en font partie mais aussi à ceux qui viennent nous voir.

3 mots pour résumer ce nouveau partenariat

Rencontre / Mouvement / Singularité


Eva Colpacci et Sedera Ranaivoarinosy font vibrer les divas !

Quel est votre univers chorégraphique?

Inspirée tant par MTV que Virginie Despentes, on crée un espace de création où Beyoncé est invitée à cotoyer Merce Cunningham. On cherche le plaisir de la danse et sa force émancipatrice. En intello-potache, nous plaçons la question du corps de la femme regardée, admirée, mais indépendante au coeur de nos pièces. Nous voulons que nos interprètes se donnent à voir, dans toute leur force et leur beauté. Kitsch, sensibles, et fébriles. La question de la solitude revient également beaucoup dans nos recherches. La solitude de la femme célibataire, mais aussi libre et puissante. C'est ainsi qu'intervient la notion de diva. Cette femme ridiculisée pour son courage d'être talentueuse et de se montrer, à sa juste valeur. Nous créons des pièces à partir de différents portraits de femmes de la culture pop, qui nous inspirent et nous habitent. Comme différentes pastilles, chaque création est reliée à une chanson en particulier.

Pouvez-vous nous dire quelques mots sur votre création / projet en cours ?

Nous travaillons en ce moment sur un concerto chorégraphique autour de la chanson All by myself, incarnée bien sûr par Céline Dion. A travers cette pièce, nous avons envie de toucher à la beauté et la justesse de cette diva, dans la dimension universelle de ses sons. C'est aussi une ôde à la solitude, et une envie de montrer comment être seules nous connecte aussi aux autres.

Quel atelier avez-vous prévu avec les danseur.se.s de Danse en Seine ?

Nous proposons un projet de laboratoire chorégraphique. A partir des protocoles de création qui sont les nôtres, nous inviterons les danseureuses de Danse en Seine à créer des courtes pastilles chorégraphiques autour d'une diva choisie. Elles composeront un parcours déambulatoire et immersif dans le monde complexe des divas.


Notre campagne de crowdfunding est ouverte !

Serge Lama pense qu’à 15 ans faudrait que l’on sache qu’on est jamais heureux qu’en soi. Lorie, elle, dit que c’est à 20 ans qu’on est invincible, rien n’est impossible. Pendant qu’Alain Souchon, ça fait bientôt 15 ans qu’il a 10 ans…

Il y a 15 ans, certain.e.s avaient 15 ans. 2010, devant M6, à regarder le prime de la Nouvelle Star. L’amour est dans le pré n’en était qu’à sa 5e saison, et on commençait déjà à débattre sur la réforme des retraites. Les JO étaient à Vancouver, Eric Rohmer décède, tandis qu’on peut aller voir Camping 2, au cinéma. Aujourd’hui, on se questionne toujours sur la réforme des retraites, et Karine Lemarchand n’a pas pris une ride. Camping a eu un 3e volet, mais le monde n’a pas tant changé et nous non plus.

Sébum et hormones, les bras trop longs, et une flemme terrible. Affalé.e devant la TV : 15 ans c’est l’adolescence. Mais avoir 15 ans, c’est aussi être plein.e d’idées. Créatif.ve à toute heure, sans se mettre de frein, parce qu’on fonce avant de réfléchir et qu’on ne se limite pas. 15 ans c’est la fouge, l’envie de tout découvrir, de tout apprendre. C’est son corps qui change, qui bouge, et qui se confronte aux autres corps pour faire société.

Nous on a 15 ans éternellement chez Danse en Seine. Mais si on compte les bougies, en 2025, c’est les vrais 15 ans d’existence de cette famille de danse, de cette association aux long bras, et à la fougue éternelle qu’on va souffler !

Alors si tu veux participer à notre incroyable anniversaire, on te serait très reconnaissant.e si tu pouvais cette année encore ou pour la première fois, nous donner un coup de main !

Et d'ailleurs on vous laisse découvrir le programme de fou que l'on vous a concocté cette année pour fêter les 15 ans ! Et au final, on en a fait une cagnotte pour notre cadeau commun à tous.tes !

Si tu souhaites y participer et découvrir en détail les projets financés, cliquez juste ici ! 


L'imaginaire de Thomas Barbarisi se déploie

Quel est ton univers chorégraphique?

Je raconte une passion fragile et pleines de questionnements, à travers des thématiques universelles mais aussi à travers des concepts littéraires et philosophiques qui me sont chers. Mon objectif est de plonger les interprètes et les spectateurs dans mon imaginaire, établir un vocabulaire commun afin d’échanger et partager. Si je devais te donner 3 mots qui définissent mon univers je dirais : sombre, poétique et torturé.

Peux-tu nous dire quelques mots sur ta création / projet en cours?

Mon projet en cours est nommé « chaOsmos », il s’agit d’un solo qui parle de l’enfant en soi et d’une quête de paix intérieure. J’explore ces thématiques à travers un concept philosophique développé par Gilles Deleuze qui s’appelle la ritournelle. Une phrase de Nietzsche m’a guidé pendant la création de ce solo : « Il faut porter en soi un chaos pour pouvoir mettre au monde une étoile dansante. » 

Quel atelier as-tu prévu avec les danseur.se.s de Danse en Seine ?

J’ai prévu de les plonger dans mon univers tout en explorant leurs identités avec du travail d’improvisation sous contraintes qui pourra me permettre de découvrir les danseurs tout en créant de la matière pour notre chorégraphie. La transmission du vocabulaire créé pour ce solo sera aussi un axe important de mes ateliers mais je souhaite surtout créer un moment unique en expérimentant tous ensemble sur l’instinct du moment. Une chorégraphie sur mesure qui va me permettre d’explorer mon sujet avec beaucoup de danseurs, j’ai hâte de voir le résultat!

Pourquoi avoir rejoint l’incubateur de chorégraphie?

Je souhaite développer ma compagnie ainsi que mes compétences, l’aspect administratif et financier sont des choses que je ne maîtrise pas et je souhaite en apprendre plus à ce sujet. La dramaturgie, l’art de la composition m'intéressent beaucoup et guider mes interprètes sont des compétences que je veux approfondir. Je crée un solo qui s'appelle chaOsmos , je veux le terminer dans les meilleures conditions possibles avec des retours et conseils qui peuvent me permettre de présenter la meilleure version de mon travail.
© Anthony Luong

Eva, notre bénévole du mois

Quel est ton rôle dans l’association ?

Je suis responsable du dispositif des Scènes ouvertes. Je suis également membre du CA, participant donc aux décisions collectives et plus globales de l'association, et je rédige également la newsletter mensuelle, avec l'aide de ma super directrice Julie ! Je suis donc aussi petite plume :)

Que fais-tu dans la vraie vie ?

Je suis super-héroine, et je combats le mal, avec une armée de chattes !
Non en vérité je suis chargée de médiation en centre d'art contemporain : c'est-à-dire que je fais des médiations et crée des projets dans des artistes à destination de classes, ou de groupes de tous types !

Depuis quand es-tu dans l’association et qu’y as-tu découvert ?

J'y suis depuis fin 2018. Je suis entrée par les ateliers, comme beaucoup. J'y ai découvert plein de matières différentes, de superbes chorégraphes, et une dynamique de groupe que j'ai toujours adoré voir. Puis il y a eu les Scènes Ouvertes, en 2019, qui m'ont permise de mettre en scène mon premier enfant : [APPEL MANQUÉ ]. C'était comme un rêve : trouver un cadre bienveillant et encourageant pour créer un spectacle. Je n'aurais jamais pensé en être capable, et c'est Danse en Seine qui m'a permis de le devenir #reconnaissanceéternelle. Alors imaginez quand on m'a proposée de reprendre les Scènes Ouvertes... ! Et puis je pense que j'y ai redécouvert la scène, et travailler la présence scénique autrement que ce que j'avais l'habitude, en modern-jazz. Et puis aussi, préparez les mouchoirs, j'y ai trouvé une famille choisie, faites des gens qui aujourd'hui sont mes ami.e.s à vie, et qui rythment mon quotidien, et que j'aime fort fort ! 

3 mots pour résumer l’asso

Création, collectif, entrain

Gerry Quevreux et le parlé-dansé

Quel est ton univers chorégraphique ?

Mon univers chorégraphique c’est la danse située dans des cadres inhabituels, la rue, l’usine, l’appartement et les moments de la vie publique. 
Dans la forme, j’ai plutôt émergé dans les danses contemporaines au pluriel : celle des cours de danse contemporaine et celle de l’improvisation, dans la lignée des recherches post-modern américaines.
Enfin mon univers c’est aussi la parole du comédien et comment la danse peut être aussi un espace pour la voix.

Peux-tu nous dire quelques mots sur ta création / projet en cours ?

Je porte actuellement avec la Fabrique de la Danse un projet intitulé ICI PRESENT
C’est un solo parlé-dansé accompagné par une musicienne. 
Je m’appuis sur l’image d'un crieur publique d’aujourd’hui, cocasse et décalé, dont le corps se laisse traversé par les vécus de ses contemporains. Par la chorégraphie et la parole, il raconte les lieux, les personnes, leurs histoires et notre présent.
Je veux diffuser cette création dans les moments de vie de la cité : inaugurer un lieu publique, valoriser le patrimoine, faire le portrait d’une personnalité… et tout autre évènement public que je pourrais poétiser et dynamiser dans ses dimensions politiques, culturelles et patrimoniales.

Quel atelier as-tu prévu avec les danseur.se.s de Danse en Seine ? 

J’apprécie de passer une journée entière ensemble, un temps long pour s’immerger. 
Ressentir, danser, parler, ne rien faire, écrire, puis se remettre en mouvement dans cet état.
Tout en vous donnant des chemins pour y parvenir, mon approche est plutôt celle de vous proposer des cadres d’exploration et de création qui font appel à votre personne.
Je veux naviguer autour d’enjeux qui sont en recherche dans ma création : 
- qu’est-ce que danser ici et pas ailleurs ? en porosité avec ce qui fait un lieu
- chercher l’espace pour la danse : parcours, danse située, cadre pour performer.
- enfin chercher ensemble autour de la parole dansée.

Nous travaillerons en intérieur dans le studio de la Fabrique mais n’hésitez pas à prévoir de quoi être confortable pour danser en extérieur si nous devons ramener un peu de matière du dehors vers le dedans.

Pourquoi avoir rejoint l’incubateur de chorégraphie ?

Pour remettre la danse au centre de mes projets artistiques
Pour questionner l’écriture chorégraphique de mon projet
Pour produire celui-ci dans les cadres institutionnels
Pour connaître d’autre artistes dans le même questionnement
Pour le diplôme ;-)
 

Swing, jazz, floorwork et danse contact pour Jessie Menanteau

Quel est ton univers chorégraphique ?

Mes propositions puisent dans l’héritage jazz l’énergie, la jubilation rythmique, la subtilité sensible et sensuelle que je métisse avec la fluidité et la liberté de la danse contemporaine.

Peux-tu nous dire quelques mots sur ta création / projet en cours ?

Je m’élance dans une nouvelle création dans laquelle je questionne la notion d’égo, sa représentativité manifeste, faussant le rapport à l’authenticité d’être ici, maintenant, avec les autres. La proposition serait de « projeter » moins, individuellement, pour « cultiver » plus, collectivement.

Quel atelier as-tu prévu avec les danseur.se.s de Danse en Seine ?

Explorer le rebond (le swing) et faire émerger le « feeling » personnel et la jubilation rythmique ; s’ancrer, se connecter, partager. « Avec Jesss ça danse jazzzz », mais aussi, au sol avec la technique floorwork, avec l’autre en contact, et avec la voix en puisant dans la danse théâtre…

Pourquoi avoir rejoint l’incubateur de chorégraphie ?

J’ai rejoint cette incubation afin de légitimer les compétences du métier de chorégraphe, affuter mon travail et me doter d’outils pour poursuivre l’essor professionnel de ma compagnie créée en 2021 avec ma partenaire.

Le Goûter - Appel à participation

La compagnie Danse en Seine réalise Le Goûter, un projet dansé et en vidéo ces prochaines semaines avec les enfants de l'école des Amandiers (Paris XXe), notre partenaire depuis de nombreuses années. Elle invite les enfants à partir de 4 ans, ainsi que leurs parents s'ils le souhaitent, à des ateliers gratuits qui se clôtureront par un tournage vidéo incroyable.

Pour cela, nous sommes à la recherche de bénévoles disponibles les samedis 16, 23 et 30 novembre, de 10h à 12h30 ainsi que le samedi 14 décembre de 10h à 12h30 (horaire à affiner prochainement) pour le tournage. Si tu as envie de participer à l'animation des ateliers, de réfléchir et de créer les costumes et/ou les décors, ce projet est fait pour toi !

Si tu souhaites avoir des informations, tu peux écrire dès maintenant à cecile@danseenseine.org 

Le formulaire d'inscription est juste ici

©Jean Seng


Béa, notre bénévole du mois !

Quel est ton rôle dans l’association ?

Mon rôle est d'aider Eva, qui est en charge des scènes ouvertes, sur la partie technique notamment. Je dois faire en sorte que les aspects techniques (sons, lumières, vidéoprojection...) des projets de création se réalisent.

Que fais-tu dans la vraie vie ?

Mais Danse en Seine c'est la vraie vie non ? :)
En ce moment je me cherche dans ma vie professionnelle. Je m'intéresse à tout ce qui touche à l'éducation, la psychologie, le social, et tout ce qui a trait au corps, au mouvement. C'est... large ! Ce qui est sûr, c'est que j'ai envie que la danse prenne de la place dans mon quotidien, d'une manière ou d'une autre, c'est important pour moi. Et sinon à la base, je faisais des statistiques dans l'industrie automobile, donc rien à voir. J'ai aussi coordonné du soutien scolaire en collège et animé des ateliers de philosophie avec des enfants.

Depuis quand es-tu dans l’association et qu’y as-tu découvert ?

Je suis adhérente depuis septembre 2023. J'ai suivi pendant un an les ateliers du mercredi, qui sont proposés par les chorégraphes incubé·e·s par la Fabrique de la danse. J'ai trouvé ça génial de découvrir leurs univers respectifs. De voir aussi, en fin d'année comment ces ateliers avaient servi leur création, lors de la soirée des chorégraphes. En parallèle j'ai participé à un cycle de scènes ouvertes, c'est incroyable d'avoir cet espace pour créer en amateur·rice ou être interprète ! Et cette année je propose un projet. Au-delà de tout ça, j'ai rencontré plein de personnes passionnées et ça fait du bien :)

3 mots pour résumer l’asso

Possibilités, rencontres, joie !