Le 14 décembre 2013, Danse en Seine a participé à une rencontre Danse et jeunes publics autour du spectacle d’Hélène Blackburn au TARMAC.
Dans le cadre de la programmation de GOLD (Compagnie Cas Public) au TARMAC, était organisée une rencontre entre le public, les professionnels intéressés et la chorégraphe et directrice de cette compagnie, Hélène Blackburn juste après la dernière représentation de décembre 2013.
Pascale Paulat (directrice d’Ère de jeu), Laurence Salvadori (fondatrice de la Compagnie Ouragane) et Anne-Sophie (Association Danse en Seine) ont participé à cette rencontre entrant dans un cycle de balades animées par Emile Lansman pour le TARMAC notamment.
En partant d’Hélène Blackburn et de son spectacle pour aborder les questions fondamentales de la danse et des jeunes publics, Emile Lansman proposait aux participants d’exprimer l’intérêt de ce qu’ils proposent comme activités ou comme productions.
Pascale Paulat (directrice d’Ère de jeu), Laurence Salvadori (fondatrice de la Compagnie Ouragane) et Anne-Sophie (Association Danse en Seine) ont participé à cette rencontre entrant dans un cycle de balades animées par Emile Lansman pour le TARMAC notamment.
En partant d’Hélène Blackburn et de son spectacle pour aborder les questions fondamentales de la danse et des jeunes publics, Emile Lansman proposait aux participants d’exprimer l’intérêt de ce qu’ils proposent comme activités ou comme productions.
C’était donc l’occasion de présenter les projets de médiation et de solidarité de Danse en Seine. En particulier, l’organisation du projet Danse, Ecole & Opéra a permis, suite à des ateliers préparatoires avec les enfants de l’école des Amandiers, de les faire découvrir le ballet « La belle au bois Dormant » de Rudolf Noureev. L’association agit également en faveur des jeunes publics avec le projet Danse à Hôpital qui propose la danse pour les enfants malades de l’hôpital Robert-Debré. Les scènes ouvertes animées par Danse en Seine approchent elles aussi les jeunes. En effet, le même jour, la première édition des scènes ouvertes avait lieu à l’école des Amandiers devant un public de tous âges. La plus jeune, 1 an à peine, n’était pas la moins concentrée!